PETITS ENFANTS
FIN DU SITE DE MILEMA-ARTE / POUR LES RAISONS QUI SUIVENT CI-DESSOUS
Nous lisons, nous écrivons, nous postons toujours en " Brouillons" ! Mais Rien ne sera édité dans un tel Contexte, nous le déplorons et le regrettons pour toutes les Lectrices et tous les Lecteurs de cet Espace Transparent qui nous faisaient le plaisir de leurs Visites, de leurs Commentaires toujours très chaleureux; nous espérons pouvoir reprendre un Jour ... Mais sans amour, sans la sérénité, sans la Clarté, Rien ne peut être bâti !
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Il restera pour le petit être et l’enfant, ce voilier à jamais uni aux flots et aux vagues de la mer qui le portèrent vers Elle… L’apparition que les vents et l‘azur confondent dans les contes, ce " vieillard "aux allures de pâtres ou de marin, le ferment peut-être d’une conscience à naître lentement et dont on se souvient parfois de l’avoir déjà empruntée, hors du temps et de tous les âges aux pays des merveilles, il était une fois un même voyage ...
Je la regardais de loin et n’avais d’yeux que pour ce tendre visage empli d’émois, si pur, si profond, qui balbutiait, qui fredonnait en me cherchant de toute une âme deux syllabes, un seul nom et ses deux sons presque inaudibles, ne croyant pas que ce jour fût enfin venu de retrouver le lien chenu qu'elle perdît il y a mille ans.
Je m’approchais très lentement, avec crainte, au bord du chagrin et des larmes, au seuil de l’incompréhension des mots, de la fourberie des conventions et de l’égotisme de l'adulte.
Seuls comptaient maintenant la tiédeur de l’eau de mer, le jeu, cette complicité inoubliable que l’on cueille à l'arbre de vie, comme un jeune fruit, une promesse indéfectible de joies et de bonheur qui se lit sur le visage, tout comme un sourire qui vous mange la figure.
Je serrais dans mes bras une enfant, une petite fille aux yeux de jais si vifs et si clairs à la fois et je la recevais contre moi, en proie à nos ressouvenirs, tremblante, comme si en son âme déjà immense dansaient follement mille évocations d’un bonheur sans nom, revenu du fond des âges. Je lui disais alors, dans le tumulte de mon silence et des frissons combien je l’aimais, elle m’avait manquée, je l’avais cherchée au bout de mes folies et de mes dérades azur ou insensées.
Petite fille, sache qu'il n’est de liens à nouer qu'au cœur de la joie, du jeu, de la danse, du récit et de tous ces mots qui ne s’écrivent pas mais vibrent à l’abri du cœur. La raison n'y fera toujours que passer, aveugle, tandis qu'au large s'ammoncèlent en un seul regard l'iris des flots éternels et de l’amour, ces flots inépuisables qui nous auront enfin réunis.
Et ce port unique, cet instant suffiront à combler de bleuités l’absence et les silences de notre éternité.
Petite révélation de mon cœur, reviens-moi, de temps en temps pour jouer ensemble les notes de l’enfance. Retrouvons cette symphonie que je n'ai jamais oubliée, viens rêver avec moi près du ciel qui bat à deux pas de ton cœur et s'enfuit à grandes enjambées tout près d'un chez nous
A toi, Petite Fille, mes Pensées avec ces deux morceaux de Musique au-dessus d'un Océan
…!
TEMOIGNAGES
A MES TROIS PETITS ENFANTS QUE NOUS NE VOYONS PLUS !!!
A MILA, EMMA, CESARE QUE LEURS PARENTS NOUS ENLEVENT DEPUIS DES ANNEES
ALORS QU'UN PERE ( Arrière Grand-Père des Petits Enfants ) VIENT DE MOURIR, QU' UN FRERE ( Grand-Oncle des Petits Enfants ), QU' UNE MERE TRES VIEILLE ( Arrière-Grand-Mère des Petits Enfants ) VONT EUX AUSSI PARTIR DANS LA SOUFFRANCE, LA SOLITUDE ET LA LOURDE MALADIE ...
MERCI A CES INDIVIDUS D'UN AUTRE TEMPS, A NOS ENFANTS INDIGNES D'ETRE DE TELS PARENTS ET QUI FRACTURENT UNE FAMILLE ENTIERE, MILEMA-ARTE TEMOIGNE, RELATE LES FAITS
!!!
MILEMA-ARTE, TRES AFFECTE, NE POSTERA PLUS RIEN SUR CE SITE MOMENTANEMENT SUITE AUX AGRESSIONS DE NOS ENFANTS, A L'ODIEUSE PRISE D' OTAGES DONT ILS SONT ET RESTENT LES SEULS COMMANDITAIRES DEPUIS DES ANNEES
- 7.07.2011 - 1 ère Ecriture
- 11.07.2011 - 2 ème Ecriture