PAUVRE FILS !...
Lectrices, Lecteurs, passez sur ce Texte, ne le lisez pas ! il est humblement le ressenti d'une famille ayant perdu les siens à la suite d'une discorde fomentée de mains de maîtresses par une personne ; comment appeler pareille forfaiture si ce n'est manipulation, visée obscure, parjure aux destinées profondes et pures du lien, des racines, de l'amour, tout simplement. Le seul moyen que nous ayons afin de faire passer ce témoignage terrible qui affecte tant de cellules familiales meurtries par le rapt et la séquestration des Petits Enfants ! De tels actes doivent être pointés du doigt lorsque les victimes resteront à vie les Petits Enfants pris en Otage par des Parents irresponsables. Après cela, il est aisé d'ajouter à son nom le patronyme local destiné à s'afficher sur une terre propice à la distinction et à ses travers qui lui sert d'asile ...!
... Et elle passa, le nez en l'air des vainqueurs, marquant du talon de ses bottes, au pas de l'oie, le terrible diktat qu'elle inflige à ses propres enfants, devenus monnaie d'échange ; elle méprisa et toisa la mère qui lui donna son grand fils, son toit et son foyer, jusqu'àu coeur des deux naissances dont nous sommes privées depuis six années cruciales ! Honte à celui et celle qui perpétuent ce crime silencieux, en regardant droit dans les yeux du manque et de l'absence, en voyant sourdre les larmes silencieuses de l' innocence étranglée et baillonnée par le cynisme, avec sadisme ... Que cette Catégorie soit parcourue et ne suscite aucun commentaire, veuillez le comprendre, mais de notre témoignage, de la vérité surtout, comme Voie et Chemin de lumière que l'on ne transgresse pas et sur lequel nous sommes prêts pour passer et disparaître
!
Notre pauvre Fils tu auras tout perdu
Si jeune Toi et Tes Petits déjà orphelins
De la vérité première et des liens du coeur
Qui vous ont été ravis Ainsi de la liberté
Ô Infortune serrant son noeud coulant
Que n'aurais-tu pas engendré de plus
Que l'odieux diktat perpétré l'acte dictatorial
Qui t'eussent à vie isolé et privé des tiens
Quelle prime sordide le Verbe Aimer
Te servent-ils sur la table du manque et du douloir
Avec pour infâme corollaire une bonne âme
Prompte à te plaindre et te choyer dès l'ors
Qu'elle aura tout gagné en feignant le contraire
En s'éloignant des servitudes et des fausses manières
Tu es à plaindre Notre Fils le probe et le juste
Face au parjure au simulacre de chaque jour
Lui servant le soleil et l'exclusive sur un plateau
Ces prébendes aisées notre Nom blessant la candeur
Et la faiblesse instituées de tes Enfants atterrés
Rivés au perpétuel ubac sans la lumière des racines
A deux pas seulement du foyer et de l'essentiel
Nobles attentions que celles d'un être manipulateur
Aux esquives aisées et habiles qui dit aimer
N'espérant que la discorde distançant sans fin
Tout ce qui lui demande une parcelle de don
Envers Toi notre Fils
Tu n'es plus qu'ombre et oubli seul et coupé de tout
Dans un monde où la distance n'est rien
A côté de la fosse commune que creuse ta compagne et les siens
Tu perdras bientôt ton île, les pierres de la maison entonnent déjà l'ode au silence
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Celui et celle qui privent leurs enfants, ( depuis l'âge de 3 ans pour la premère et de 9 mois pour le second ), de voir leurs grands-parents, rejoignent les milices et les nazis qui sévirent avant et pendant la guerre de 39 / 45 ! Avez-vous consulté les Petits ? répondez à cette question, que disent-ils ? Est-ce là leur souhait, ce qui constitue les bases solides de leur avenir...? Vous pouvez aller en paix, la Messe est dite, mangez de l'agneau, de cet agneau qui nous fait gerber aux pieds de la mémoire et de l'opprobre ! Celle et celui qui passent et vieillissent, trop loin de Vous. En guise de prière, ce Chant, ce Champ de désolation, là où plus rien ne poussera ; " Elle " le sait, " Elle " qui cultive et sème, qui s'aime tant ...
PAROLES EDERLEZI
La Fête de Saint Georges
Tous mes amis dansent l'oro
Ils dansent l'oro, ils fêtent le jour
Tous les Roms, maman
Tous les Roms, papa, papa
Tous les Roms, ô maman
Tous les Roms, papa, papa
Ederlezi, Ederlezi
Tous les Roms, maman
Tous les Roms, papa, sacrifient l'agneau
Sauf moi, pauvre tambour, je reste à l'écart
Le jour des Roms, notre jour
Notre jour, Ederlezi
Ils nous donnent, Papa, un agneau
Tous les Roms, papa, sacrifient l'agneau
Tous les Roms, papa, papa
Tous les Roms, ô maman
Tous les Roms, papa, papa
Ederlezi, Ederlezi
Tous les Roms, maman
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