EAUX TROUBLES ....
La complainte de la Lointaine Afrique, celle qui te donna le jour, là où nous nous unissions pour la vie, avec l'Être qui te porta et t'éleva avec tout l'amour du Monde.
Que serait celle qui nous prive de tes enfants, si tu n'étais pas ? Réponds, fils Indigne !
Dos Argenté, tu connais, Fils, c'est ton Père, ton ancien Prof dans la vie, qui te parle, ne cons-pue et ne se con-chie point en sales paroles ; mais de la vérité !... Regarde, écoute Muddy Water, entre nous s'est immiscée une eau boueuse ! ce n'est plus la vague si Claire que nous partagions, ensemble, depuis ton jeune Baptême, par les flots Insulaires ! Aujourd'hui, tu parades à la Face des Books, jouant les ténors Hawaïens aux grandes pâmoisons de la Bru qui nous confisquent les Petits Enfants, depuis plus de 5 ans ... C'est ainsi, il faut, dit-on, de tout pour faire un monde ! Ô servitudes des valets et des félons qui ainsi briment et blessent le coeur de l'innocence !
En effet, le post est rude et dur ! mais il est aussi le seul moyen de dénoncer, de fustiger l'inacceptable, ce verdict odieux qui pourrait aussi et ainsi toucher tant de Grands Parents privés de leurs Petits Enfants. Le tissu social est à la merci des irresponsables, de gens sans coeur capables de priver un innocent des plus belles joies de l'existence, la manifestation d'amour humble et tant épurée par le temps d'une Grand Mère très malade, et toi, ignominieux, de crier au chantage !...
Diffusez, partout, diffusez, que cela serve de témoignage, pointe du doigt l'odieux forfait de parents à l'encontre de petits enfants, depuis leur plus jeune âge ( 9 mois et 3 ans, à 15 Kms de la grande maison familiale )
Retourne - toi Devant les grains menacent
Sombres et sans lien Les larmes disjointes
De la concorde qui s'en est allée à toujours
Obscurcissent un ciel par trop souillé
De nuages toxiques Un jour ils dilacéreront vos horizons
Ne fauche pas si tôt le champ des ans où allait
Le pas hésitant de tes enfants assurant lentement
Les assises d'un temps vénérable et si sain je dirai même pur
Quel est le prix de ces privations des longues années
A ne plus avoir de parenté si ce n'est de ne jamais
Abdiquer devant le mensonge Si ce n'est notre refus de se prosterner
A nouveau accédant maintes fois aux menées troubles et insidieuses
De celles et ceux qui n'auront eu de cesse de te consommer
Sur les versants hospitaliers de toutes les bontés
Nous les auront conduits là sur ces rivages près de nous de vous
Tu es mené - Fils - de bout en bout par l'esprit torve du calcul
Par un être qui se dit bon pour toi mais sous conditions radicales
Un seul retour parmi nous signerait l'aveu de multiples forfaits
D'où l'intransigeance d'un orgueil d'une vanité masquée de l'exclusive
Sous les voiles facétieuses d'une pléthorique attention sans partages
De ces égards fusant de toutes parts et qui t'auraient aveuglés
Mais entre temps tu meurs sans les tiens Tes petits seront déracinés
A nouveau connaîtront l'exil et le tourment d'avoir perdu
A deux pas leurs grands parents qu'ils ne reconnaîtront plus
Odieux chantage que le sien le vôtre enfin de ces adultes
Commandant aux petits enfants l'ordre et la conduite intransigeante
Et durable à tenir sous les prétextes fallacieux de la discorde
Dont plus tard il n'auront cure fussiez-vous devant l'Autel
Face contre le confessionnal des perpétuels pardons sans guérisons
Les boniments ont juste cure dans l'antre de la ferveur qui ne s'expose
Oui contre mauvaise engeance vous faites bon coeur mais sachez
Que vous récolterez l'ivraie et curerez la lie d'un vin âpre et félon
Et vos coeurs ne sèment que le fiel oeuvrant à l'amertune d'un double deuil
Qui nous laisse à travers ce conflit seuls à endurer et à pleurer
Au seuil de la grave maladie de la mère qui porta si longtemps un fils au sein
Honte disgrâce à ces gens-là dont Brel aurait si bien circonscrit l'odieuseté
Y aurait-il de pardon envers celle et celui qui arrachent deux enfants innocents aux liens de coeur des Grands-Parents, qui les refusent ne serait-ce que quelques heures près du Sapin ? Vous pouvez, après cela, Not' Bon Fils, Not' Bonne Bru aller en paix ... communiez bien et souvent, à l'Eglise, à Noël, dans la rue, invoquez en pleurs, le rameau à la main le corps du Christ ! La maison ancestrale n'est plus qu'un immense tombeau ; je l'avais refaite de mes mains, en partie pour vous afin que nous puissions, un jour et ensemble, rêver d'un seul soleil ! Vous aurez grevé les deuils par votre absence, il en arrive deux autres, et vous persisterez, vous signerez absence et silence !
Chè vo siate tutti dui disgraziati, Vergogna à tè, Figliolu, qui anantu ' ssa Tarra, averà suminatu pientu è dulore, in core... O Cursichella, sè un paèse ! Omu, Ognunu sà, saperà cio' chi' vo fate qui... Parchè ?
Marinaru